La déprise agricole affirmée par nos élus est en contradiction avec la réelle augmentation du cheptel constatée depuis de nombreuses années. Elle est utilisée depuis longtemps comme argument permettant d’ouvrir la voie à toutes les réalisations touristiques. Si la parole de chaque agriculteur ou éleveur du territoire concerné était recueillie et prise en compte, on pourrait prendre la mesure des obstacles qui sont dressés contre leur activité. On sent bien que pour les élus, l’activité pastorale est un obstacle au développement des activités hivernales, mais ils donnent le change car c’est politiquement très incorrect !